Selon les témoignages recueillis auprès des anciens de la Cité, Tiassalé du vocable Tchassa, nom attribué à l’un des affluents du fleuve Bandama qui traverse le petit village habité par les autochtones « Asrin » ( M’battra). Tiassalé va devenir plus tard grâce au développement du commerce du sel de cuisine un important Carrefour d’échanges commerciaux et culturels.

Le village va se révéler par la suite comme une zone de convergence humaine qui se compose des autochtones ce sont : les Elomoins, les Agnis, les Souamlin, les Baoulé et les Abidji-Agnis. Tiassalé deviendra enfin de compte une cité cosmopolite avec l’arrivée d’une forte communauté d’allochtones : Gouro,Wê, Bété, Malinké et d’allogènes : Maliens, Burkinabés, Nigériens, Nigérians, Béninois, Togolais, etc.